C’est quoi une liseuse électronique ?

La liseuse est un outil qui sert à diffuser des livres numérisés. Cela est la révolution et la mise en place d’une bibliothèque numérique. La liseuse est dotée d’un écran pour diffuser l’image et d’une capacité de stockage pour les lectures. Vous devez vous connecter par Wi-Fi pour avoir accès à la librairie. Cette librairie renferme de nombreux ebooks. Le Wi-Fi est utilisé pour le téléchargement des livres numériques dans la librairie. La liseuse est idéale pour faire de la lecture pour tout le monde.

Les critères pour la liseuse électronique

La liseuse électronique possède un écran entre 6 à 7,8 pouces. Vous devez opter pour l’écran 7,8 pouces. Cela vous offre plus de confort lors de la lecture. Elle dispose d’une résolution minimum de 167 ppp. La résolution idéale est les 300 ppp pour un agréable vus sur le livre. La capacité de stockage est de 2 Go, 4 Go, 6 Go ou de 8 Go.
Ses mémoires ont chacun une limite de stockage :
Le 2 Go peut contenir jusqu’à 1500 livres
Le 4 Go : jusqu’à 3000 livres
Le 6 Go : jusqu’à 4500 livres
Le 8 Go : jusqu’à 6000 livres
L’autonomie de la liseuse est très résistante. Elle peut durer environ 6 semaines sans l’utilisation d’un Wi-Fi. Cela varie selon le modèle et la qualité de la liseuse. L’utilisation d’un Wi-Fi peut diminuer sa durée. Le prix de la liseuse est en fonction de sa qualité. Les plus performants sont toujours les plus chers. Elle existe en plusieurs marques dont le KOBO, BOOKEN, KINDLE. Vous savez maintenant comment choisir la meilleure liseuse électronique.

Le fonctionnement d’un simulateur de pilotage

Visibles dans de nombreux salons de la technologie, les systèmes de simulation de pilotage ne cessent de se réinventer. Un siège relié à des écrans forment l’environnement de ce type d’installation. Grâce à ce bijou technologique, il est possible pour petits et grands de ressentir les sensations réelles d’un pilotage (les secousses, etc.), tout en restant à l’abri et bien en sécurité.

Les enjeux des simulateurs de pilotage

Bon nombre de pilotes ont commencé leur apprentissage via des simulateurs de pilotage. C’est par exemple le cas des pilotes de formule 1 ou F1. À titre d’exemple, Michael Schumacher affirme avoir passé plus d’un quart de son temps d’entraînement dans un simulateur de pilotage, avant d’arriver à maîtriser son bolide. C’est un temps précieux, nécessaire et important, selon lui, car cela lui a permis de se mettre en situation réelle, sans pour autant se mettre en danger. Si vous aussi, vous souhaitez en faire l’expérience, n’hésitez pas à vous rendre sur www.fun-simulations.fr. Le site propose plusieurs types de simulations de pilotage : une simulation de vol, une simulation de pilotage de karting, et bien d’autres encore.

Les perspectives d’avenir des simulateurs de pilotage

Les simulateurs de pilotage ont un bel et long avenir devant eux. En effet, de plus en plus de sociétés les intègrent dans leur cursus de formation. Qu’il s’agisse de simulateurs de pilotage automobile, de vol ou aéronautique, ils sont tous devenus quasi-indispensables, car ils permettent de gagner en expérience. C’est par exemple le cas des écoles d’aviation ou encore des auto-écoles. Les simulateurs de pilotage se banalisent et sont en passe de devenir de réels outils d’éducation de nos jours.

Les différents types de procédés d’impression 3D

Il y a divers modèles d’imprimantes 3D. De ce fait, le coût de ce genre de merveille technologique peut être varié, selon qu’il est assez simple ou plus perfectionné. Pour savoir exactement le prix de ce genre de machine, vous pouvez alors vous rendre sur scanner-ocr.fr/quel-est-le-prix-dune-imprimante-3d. Par ailleurs, il existe différents types de procédés d’impression 3D, se distinguant en fonction de la matière première employée. Le plus commun de ces procédés est le Fused deposition modeling ou FDM, qui utilise comme matière première du PLA fondu ou du fil de plastique ABS. Ces matières sont déposées en extrusion pour prendre la forme du profilé choisi. Puis, il y a le Stereolithography Apparatus ou SLA, qui utilise des plastiques thermodurcissables fluides, ou des élastomères qui sont polymérisés couche par couche par un laser. Ensuite, il y a le procédé Continuous Liquid Interface Production ou CLIP, qui utilise une résine liquide comme matière première. Cette dernière est polymérisée à l’aide d’un laser ultraviolet dans une atmosphère où on contrôle déjà la teneur en oxygène. Finalement, il y a la technique SLS ou Selective Laser Sintering qui emploie des métaux, des thermoplastiques, ou des céramiques en poudre comme matière première. À l’aide d’un laser, ces matériaux sont frittés petit à petit, couche par couche.

Que peut-on fabriquer avec une imprimante 3D ?

L’impression 3D est un procédé qui n’arrête pas d’évoluer avec le temps. Ainsi, chaque jour, les spécialistes expérimentent de nouveaux matériaux pour essayer de fabriquer des objets plus innovants et d’excellente qualité, avec une imprimante 3D. Par exemple, dans le secteur du bâtiment, de nos jours, il est devenu possible de créer une maison en 24 heures grâce à la technique de contour crafting, et à une énorme imprimante 3D. Dans le secteur de la médecine, une imprimante 3D est aussi aujourd’hui utilisée pour fabriquer des prothèses, des implants dentaires, et certains organes grâce au procédé de bioprinting. Puis, dans le secteur alimentaire, certaines imprimantes 3D permettent de créer des plats en utilisant des ingrédients semi-liquides ou liquides comme matière première. À noter que l’utilisation d’une imprimante 3D apporte de multiples avantages. Elle permet notamment de réduire le processus de production dans une usine et de gagner du temps. Elle participe également aux économies d’échelle, et permet de répondre aux besoins spécifiques des consommateurs.

Adobe vous présente l’Adobe Lightroom

Adobe Inc. est une entreprise américaine reconnue pour ses différents logiciels graphiques. L’éditeur a déjà de nombreux logiciels édités à son actif pour ne citer qu’Acrobat, Illustrator et Flash ou encore Photoshop. Afin de satisfaire un public plus large, la société de Mountain View propose également l’Adobe Lightroom. Très apprécié sous sa version adaptée aux PC, l’outil est actuellement disponible dans une version mobile. Celle-ci est téléchargeable gratuitement et permet d’effectuer des prises de vue en RAW. Mais l’option qui fait tout l’intérêt de l’Adobe Lightroom reste incontestablement la retouche photo. Cette fonctionnalité donne accès à de nombreux paramétrages de retouche allant du plus simple au plus complexe.

Google vous propose le Google Snapseed

Édité par Nik Software, Google Snapseed est passé entre les mains de Google. Au fil des années, l’application n’a cessé d’être mise à jour afin de donner à ses usagers la meilleure expérience utilisateur possible. Facile à prendre en main, cet outil dispose de presque toutes les options pouvant être indispensables pour satisfaire le plus exigeant des photographes mobiles. Google Snapseed dispose d’une option complète de réglages (recadrage, pivotement, ajout d’effets, etc.) tout en proposant une fonctionnalité de retouche automatique. Il est par ailleurs possible d’associer différents filtres pour retoucher un cliché à volonté. À part cela, cette application dispose également de la fonctionnalité RAW.

Les autres applications à ne pas manquer

L’application Touch Retouch est l’idéal si vous désirez effacer certains éléments d’une photo. Simple d’utilisation, cette appli n’exige aucune connaissance particulière en matière de retouche. Elle est par ailleurs composée de différentes fonctionnalités réglables en fonction du niveau de précision recherché. Une autre application qui mérite d’être mentionnée est le PicsArt Photo Editor. Cette dernière est surtout appréciée pour ses options de collages et effets. Disposant d’une interface agréable et fluide, l’appli est également simple d’utilisation.

Quels drones pour les débutants ?

Pour commencer son expérience avec le pilotage de drone, il est conseillé de prendre un petit modèle. Les petits drones sont robustes et possèdent une caméra intégrée qui permet de s’entraîner à l’intérieur. La probabilité de s’écraser lors du premier vol est effectivement grande, mais avec un modèle pour débutant, vous investirez sur un appareil peu cher. Husban, T2M, Mondo Motors et PNJ proposent en ce sens des drones pour débutants très intéressants.

Les drones pour faire des photos

Pour ceux qui souhaitent utiliser un drone pendant les vacances ou pendant les excursions en famille, il n’est pas indispensable d’avoir un modèle avancé qui risque de coûter assez cher alors que toutes les fonctionnalités ne serviront peut-être pas. Il est toutefois conseillé de privilégier les drones avec des caméras incluses et une autonomie minimum de 10 minutes pour faire de belles photos. Pour les photographes de métier, la gamme Phantom 4 de DJI est fortement recommandée. Prise de vue à 360 degrés, mode rafale, caméra 4K intégrée, stabilisation à 3 axes sont autant de capacités offertes par les modèles de la marque.

Les réglementations à savoir sur l’usage des drones

Comme le pilotage de drone est le plus souvent pratiqué dans des espaces publics, il s’avère plus qu’utile d’observer quelques règles pour éviter les désagréments avec les autorités. En fonction de l’usage de l’appareil, on distingue des règles à suivre différentes. Elles ne sont pas les mêmes pour les activités à caractère professionnel, pour les compétitions et pour les utilisations privées. En effet, les drones de moins de 25 kg peuvent circuler librement tandis que ceux qui pèsent plus requièrent un brevet de pilotage délivré par la FFPLUM. Pour les petits drones qui ne peuvent pas voler très haut, ils sont libres d’utilisation. Dans tous les cas, il faut toujours faire attention à ne pas faire survoler l’appareil au-dessus d’une propriété privée ou d’un espace dit, zone rouge. Le pilotage doit aussi se faire avec minutie pour éviter de blesser quelqu’un en cas de chute ou durant l’envol.

Anker PowerCore II : une batterie nomade XXL de 20 000 mAh

Ce modèle de batterie nomade est le compagnon parfait pour assurer la recharge de votre batterie de téléphone où que vous soyez. Disposant de 2 connecteurs USB, elle peut se transporter partout, protégée dans sa housse. Vous aurez également à disposition, un câble permettant de recharger la batterie sur un secteur de 220 ou de 240 V, ou une connectique USB 3.0 pour une recharge rapide de votre Smartphone ou tablette tactile. Disponible à un prix de 40 euros, cette batterie délivre une charge de 20 000 mAh qui permet par exemple, de recharger un Smartphone de la dernière génération 8 fois, avant de se décharger. Pour connaitre l’état et le taux de chargement de la batterie, vous avez un petit écran Led qui vous permet de suivre la progression. On regrettera juste la dimension assez conséquente de cette batterie nomade qui ne lui permet pas de se glisser dans une poche. Elle a une longueur de 20 cm pour 6 cm de large, mais on peut compter sur son poids de seulement 367 g qui ne se fera pas sentir dans un petit sac.

Le Mophie powerstation mini : un petit qui fait de grande chose

Si vous cherchez un format de batterie nomade assez petit et qui se glisse en poche, on vous recommande le Mophie powerstation mini. Disponible à seulement 24 euros, il délivre une puissance de 2 482 mAh pour recharger 2 fois la batterie d’un smartphone à plat. Contrairement au premier modèle cité, cette batterie dispose d’une connectique micro-USB et d’un petit écran Led pour voir la progression de la charge. L’avantage avec cette mini batterie c’est que même si le constructeur a annoncé une puissance théorique de 2 362 mAh, on va nettement au-delà de cette capacité. Son autre point fort réside également dans sa taille, car elle ne fait que 3.5 » et ne pèse que 96 g. On a également, un appareil bien solide avec sa coque en alu. On regrettera juste que l’appareil ne dispose que d’un port USB qui ne permet donc que la recharge d’un smartphone à la fois. On notera également que la charge de la batterie s’effectue assez lentement.

L’Anker PowerCore 13 400 mAh : le modèle le plus compact

Si vous cherchez un modèle de batterie nomade compact, l’Anker PowerCore 13 400 mAh est parfait. Aussi connu comme une édition de la fameuse Nintendo Switch, elle est disponible dès 60 euros sur le marché. C’est une batterie équipée d’une connectique USB-C et qui a le privilège d’avoir une certification de Nintendo Switch. On pourra entre autres, charger des smartphones et des tablettes tactiles sur la batterie, mais aussi, des consoles de jeux vidéo portables et notamment, le Nintendo Switch. Côté design et ergonomie, c’est un appareil compact qui se faufile parfaitement dans un petit sac ou en poche. Les connectiques sont également, bien placées et offrent une utilisation aisée que ce soit pour la recharge de la batterie sur un secteur de 200 V ou pour recharger jusqu’à 5 fois un appareil à plat. On notera également que la charge de cette batterie nomade est l’une des plus rapides sur le marché.